Il y a 13 ans, «Master Réel» (de Nice) tuait «MasterO» en cours de plan, avant de cacher le corps et de nier les faits durant de longs mois…

 

CECI EST UNE ALERTE DE SÉCURITÉ

Octobre 2005 ~Octobre 2018 :   il y a 13 ans, «MasterRéel» (de Nice) tuait «MasterO» ( Jean-Michel ) en cours de plan SM, avant de cacher son corps en l’enterrant, de planquer sa voiture à Marseille…  et : de nier les faits durant de très très longs mois d’enquête…!

Cela vous rappelle peut être quelque-chose… voici un article de l’époque pour vous rafraichir la mémoire :

bondagehard75

Aujourd’hui, MasterRéel (alias Patrick L*M**N*) est sorti de prison, après avoir purgé sa très, trop, courte peine en regard des faits, et : il recommence dans la plus absolue impunité ses prises de risques avec les soumis qui s’offrent à lui !

Il est aujourd’hui âgé d’une grosse soixantaine d’années (et non la cinquantaine comme il l’annonce sur Recon.com : il avait 53 ans en 2006, il doit donc avoir 65 ans désormais) et : ça ne lui a pas suffit d’avoir tué une fois et même planqué le corps, puisqu’aujourd’hui il remet le couvert et repratique à tour de bras dans le SM et le bondage extrêmes et déraisonnables, sans respect des limites !!!

[ Son nouveau pseudo sur Recon.com est désormais LePhenix75* BONDAGESHARD (Paris / RP) et LePhenix73* BOUNDBYWILL73 (Savoie / Chambéry).
Il sévit en effet principalement en région parisienne, en Savoie, ainsi que de temps à autres sur l’Ile de la Réunion.]

* MAJ 08/2018 : Ces 2 pseudos ont désormais disparu du site Recon, mais il en a ré-ouvert d’autres…

…dans le genre BONDAGESHARD !!!
…ou encore
BOUNDBYWILL73 !!!

 

 

Maintenant : c’est à vous de voir si vous avez envie de jouer avec la mort… vous êtes prévenus !

 

 

 

 

A ceux qui s’extasient devant le film « 120 BPM » et qui en pleurent même…

A ceux qui s’extasient devant le film « 120 BPM » et qui en pleurent même…
Soyez cools !!!
Pour votre « culture gay » vous devez obligatoirement voir ce film de 1990 : « LONGTIME COMPANION« .

Vous n’en sortirez pas indemnes… et vous comprendrez beaucoup de choses qui, sans aucun doute, vous échappent !

Même que ce serait bien que les actuelles équipes d’ACT UP visionnent ce film : elles sortiraient sans doute de leurs « certitudes » ancrées dans l’immédiateté (vous avez, la « Prévalence« , la « Stigmatisation« , la « Réduction des Risques« , la « PrEP« , et autres conneries monumentales du même acabit…), et recentreraient peut-être enfin leur combat de manière à nouveau efficace et sans se tromper d’ennemi…!

( Les sous-titres en français du film « Longtime Companion » sont disponibles ici https://ytssubtitles.com/longtime-companion/tt0100049
Sans garantie d’une bonne traduction. Utiliser VLC avec le fichier .srt téléchargé. Merci à Sebasto pour cette précision.)

Merci à Christian A. d’Annecy, qui m’avait trainé au cinoche, à la sortie de ce film, pour le voir en sa compagnie : il résonne encore, 27 ans après, dans ma tête…!!! Christian venait tout juste de perdre son Ami.
Et moi, j’avais 25 ans… et toute l’insouciance qui va avec. Et  souvent, j’ai trippé avec eux, ou avec l’un, ou avec l’autre…

 

PS : Un coucou très amical à mon pote, Didier Lestrade.

 

 

 

 

Breath-Control, chloraethyl, protoxyde d’azote : si tu as envie de crever en cours de plan…

MANUEL pharmacologique, toxicologique,
pharmacocinétique et PEC première
urgence à l’usage des URGENTISTES

 

Cet article est libre de droit à la condition d’être intégralement reproduit sans aucune modification, et de citer la source.
Dernière M.A.J. le 06/01/2021

 

En 2016, ce ne sont pas moins de 3 personnes que je connaissais qui sont décédées lors de plans « Breath-Control / Rebreathing »  avec introduction de protoxyde d’azote ou de chloraethyl.
Pour 2017, j’en ajoute 2 de plus.
Puis il y a eu 2018, 2019, 2020…
Et là : l’année 2021 n’y déroge pas, dès les tous premiers jours… et : cela fait des années que cela dure à ce rythme infernal !

Loin de moi l’intention de poser un interdit, mais il est nécessaire de bien vous informer à ce sujet

Déjà, le breath-control « simple » n’est pas anodin : c’est une pratique extrême, et extrêmement dangereuse quand elle est mal maitrisée. Quand je parle de breath-control, cela intègre toutes les pratiques associées : contrôle de la respiration, rebreathing (recyclage du bol d’air expiré), suffocation, mais aussi –heureusement beaucoup plus rares et fondamentalement très dangereuses– la strangulation ou même la pendaison : je n’en parlerai pas ici.

En Breath-Control, le risque létal, le risque mortel, existe bel et bien… ainsi que les complications à l’issue d’un plan même anodin qui, en apparence, s’est bien déroulé : atteintes au système nerveux central, paralysie faciale ou paralysie d’un membre, troubles durables de la vision, acouphènes… Bref : on ne fait pas ça n’importe comment, ni avec n’importe qui !
Il faut au domi de très sérieuses connaissance de gestion de l’urgence et de la réanimation ! Et des connaissances très solides en physiologie…

Et puis, une évidence : on ne joue JAMAIS en solo au breath-control ! Ce serait comme sauter à l’élastique dans le vide, mais : avec un élastique beaucoup, mais alors vraiment beaucoup trop long…

CHLORAETHYL, PROTOXYDE D’AZOTE, ÉTHER, CHLOROFORME, TRICHLORÉTHYLÈNE, FORMOL…  = DANGER ABSOLU !
C’EST LA MORT AU TOURNANT.

Le pire de tout, le plus dangereux de tout, c’est lorsqu’en plan Breath-Control / Rebreathing, on vous fait inhaler du protoxyde d’azote ou du chloraéthylène…

(voir quelques illustrations ci-dessous)

Ces produits détournés sont très hautement dangereux, peuvent très facilement déclencher un arrêt respiratoire ou/et un arrêt cardio-respiratoire, et si le gars qui vous fait ça n’a pas les compétences et les équipements d’un anesthésiste-réanimateur : sachez que votre pronostic vital est immédiatement engagé au moindre  incident  en cours de plan !
Quand je parle d’équipements nécessaires : c’est un monitoring complet (cardio-respiratoire) du « patient » avec dosage en continu de la saturation en O², Co et Co², une unité d’assistance respiratoire, un défibrillateur… et les couilles de faire une injection intracardiaque d’adrénaline si le palpitant ne redémarre pas !
Bref : l’usage de ces substances n’est pas donné à tout le monde, sinon, le danger est évident. N’écoutez pas ceux qui disent « moi, je gère » : ils sont simplement dangereux… et voilà pourquoi :


Protoxyde d'azote - N2O - peut être mortel en cours de BreathControl
Le N2O, ou PROTOXYDE D’AZOTE,

MANUEL A L’USAGE DES URGENTISTES

ici présenté en vulgaire version cartouches pour siphon alimentaire. Je sais, ça semble totalement inoffensif… il y en a même dans toutes les cuisines !
Le protoxyde d’azote est utilisé dans l’univers médical comme gaz anesthésiant (sauf dans la pharmacopée française) ou relaxant, il nécessite dans son usage anesthésique que le patient soit monitoré, sous assistance respiratoire constante, avec un personnel qualifié (anesthésiste-réanimateur) pour prévenir d’un arrêt respiratoire ou/et cardio-respiratoire qui est un incident très fréquent lors d’une anesthésie générale… et: c’est bien là le cas dans l’usage qui en est fait dans ce contexte !!!
La « zone rouge » physiologique (effet perçu) serait autour de 12 grammes inhalés pour 70 kg chez un sujet en parfaite condition physique, en association à 1:1 en oxygène pur (O²)… alors qu’une cartouche, c’est 8 ou 16 grammes purs (sans O²) selon le modèle… et quand j’entends que des mecs, en cours de plan, peuvent enfiler 6, 7, 8, 10 ou même 12 cartouches ( !!! ) sans aucun apport d’O² et à saturation en Co et Co² puisqu’on est en breath-control, et cela en l’espace de seulement quelques minutes : ils ne savent pas du tout ce qu’ils font ! Ils jouent vraiment avec la vie des autres… jusqu’au jour où ils vont tout perdre.
A ces doses : paralysie du diaphragme / pulmonaire certaine (arrêt respiratoire, cessation durable du réflexe pulmonaire par saturation de N2O dans les alvéoles), et : arrêt cardio-respiratoire quasi-garanti !

NB : pas de signature toxicologique persistante.*


Chloraethyl - Chloraethylene - Dr Henning - Peut être mortel en cours de plan BreathControlChloraethyl - Chloraethylene - Dr Henning - Peut être mortel en cours de plan BreathControl
Le CHLORAETHYL ou CHLORAETHYLENE ou ETHYL CHLORIDE

MANUEL A L’USAGE DES URGENTISTES

est de la famille pharmacocinétique du chloroforme. Comme son nom l’indique, c’est un dérivé chloré : ça commence très mal.
Il génère un froid intense (environ -60°C), et n’est plus utilisé que comme anesthésique de surface (tatouage, piercings, micro-interventions dermatologiques) en raison de sa dangerosité extrême pour la santé quand il est inhalé (destruction du système hépatique : le foie… et atteintes irréversibles au système nerveux central). C’est un toxique. Il est aussi utilisé en usage externe comme « bombe de froid » pour les contusions musculaires (usage interdit en France), mais : il peut déclencher une paralysie faciale et des complications œsophagienne et bronco-pulmonaires, etc…
Lorsqu’il est inhalé, tout comme le chloroforme, il peut très facilement déclencher un arrêt cardio-respiratoire et d’une manière systématique : une perte totale du tonus musculaire… (plus de force musculaire, tes jambes ne te portent plus, etc…). De plus, son effet est cumulatif : chaque inhalation se cumule, en effet physiologique durable, avec la précédente inhalation qui semble pourtant devenue inopérante, le tout avec une 1/2 vie du produit très longue pour un aérosol ce qui rend toute tentative de « dosage » pratiquement impossible !
En inhalations répétées, la « montée en escalier » des effets est de puissance exponentielle à chaque nouvelle inhalation (1:10, puis 1:100, puis 1:1000, etc…), et donc excessivement dangereuse et non contrôlable : on franchit la « ligne jaune » sans même s’en apercevoir, et c’est le KO direct !

Pour résumer : le chloraéthyle inhalé peut très facilement déclencher, sans aucun signe précurseur, une paralysie du diaphragme / pulmonaire (arrêt respiratoire, cessation durable du réflexe pulmonaire par saturation de chloraéthyle –gaz lourd qui occupera tout le volume disponible–  dans les alvéoles pulonaires), suivi d’un arrêt cardio-respiratoire complet en quelques dizaines de secondes seulement !

Enfin, pour compléter le noircissement du tableau, le chloraethyl est une molécule très addictive !!!

A noter : après inhalation, attendez vous aussi à être testés positifs à l’alcootest… vous serez très rapidement bourrés avec ça.

NB : pas de signature toxicologique persistante.*


* ( Le protoxyde d’azote comme le chloraéthyle n’ont pratiquement aucune signature toxicologique persistante au delà de quelques minutes, ce qui explique de nombreux décès qui, malgré autopsie, restent inexpliqués ou mal interprétés par faute de détectabilité de ces molécules à postériori… Mais : un habitué repèrera au premier coup d’œil un faciès figé, un rictus déformé induit et si particulier.)


 

Après, il y a aussi des fous dangereux qui utilisent de l’éther, du trichloréthylène, du formaldéhyde ou d’autres solvants ménagers ou industriels…

Je ne m’abaisserai même pas a évoquer « ça » dans cet article, je n’en parlerai même pas !!!

Mais si le cœur vous en dit, plutôt que d’inhaler n’importe quoi : achetez-vous directement un tabouret et une corde. Ce sera plus efficace pour vous foutre en l’air de manière certaine, et : plus propre aussi…!

 


DANGER DE MORT - protoxyde d'azote - N2O - gaz hilarant - chloraethyl - ethyl chloryde - chloraéthylèneVisuel de prévention libre de droits


 

Note marginale : je me suis beaucoup interrogé avant d’écrire cet article, de citer et montrer les substances les plus communément utilisées par des inconscients… Fallait-il les montrer, les citer, au risque de donner des idées à des tarés ? Et à la réflexion, oui !
Sinon : en cours de plan hard, qui se méfierait sans être prévenu d’une vulgaire et anodine cartouche de siphon à Chantilly sortie par un « domi » qui ajouterait un truc du genre « tu vas voir, avec ça c’est génial, et moi, je maitrise… moi je sais faire… avec moi c’est sans danger…» pour te rassurer ???

 

 

Je dédie cet article
à
« NIAGA » (27/06/1996~19/09/2017, Nantes, France),
à THOMAS (1982~13/08/2017, Vienne, Autriche), et
à DANIELE ( 1981~2007, Milan, Italie),
et à plein, plein, plein d’autres anonymes pour vous, mais : pas pour moi… ils étaient mes potes, ou des proches de mes potes. Mais qui sait : vous en connaissiez peut-être certains…

 

 

 

 

 

ÉLECTROSTIMULATION : ALERTE DE SÉCURITÉ

Je m’en doutais un peu, mais un pote, médecin urgentiste, vient d’en faire la démonstration (à ma demande, et sur la base des paramètres que je lui avais communiqués : il possède sensiblement le même équipement électro que moi…) avec un « cobaye » monitoré…

Même sans traverser la zone cardiaque, l’électrostimulation peut déclencher des FIBRILLATIONS CARDIAQUES.

Les conditions de son essai sont les suivantes :

► sujet sportif de 28 ans sans antécédent cardiaque
► électrodes placées :
1) base du sexe et couilles (neutre)
2) sur le gland avec insert urétral de 4cm
► box utilisée : Erostek ET-312 en mode bipolaire, Canal A. Configurée en paramètres « usine ».
► routine utilisée : WAVES
► Paramètres :
• Mode de puissance interne de la box réglé sur médium, curseur porté progressivement à 72%.
• Fréquence assez « grave » : -30 sur le potentiomètre (si on considère qu’il va de -100 à + 100 : il n’est pas gradué).
► apport extérieur : légère prise de poppers, sans aucun excès (le « sujet » est un habitué).

Au moment de la jouissance, la fibrillation a été constatée au monitoring, avec pour le « sujet » un léger black-out de quelques secondes, des tremblements incontrôlés (spasmes légers).
La fibrillation a cessé immédiatement à l’arrêt de la box, prouvant ainsi que c’est bien l’électrostimulation qui en était la cause.

Il est important d’intégrer ce paramètre dans nos jeux pour les rendre plus sûrs.
Encore une fois, dominer, ça ne s’improvise définitivement pas !