Note au sujet de l’Electro / E-Stim :

Bien pratiqué, l’électro ouvre une sorte de 3ème voie inconnue entre le plaisir et la douleur… et t’emmènera au Nirvana ! Je m’en explique : les neurotransmetteurs chimiques qui transportent la perception/sensation de plaisir ou de douleur vers le cerveau sont rigoureusement les mêmes… ils ne sont capables de porter que l’une ou que l’autre de ces informations, de manière binaire : le mal, ou le bien ; la douleur, ou le plaisir.
Avec l’électro, ça se corse… une sorte de 3ème voie imprévue s’ouvre, déroutante, où le cerveau est incapable d’analyser le message transmis… car ça ne fait ni du bien, ni du mal, c’est juste de la jouissance pure et d’une intensité délirante. De quoi affoler les neurones qui ne comprennent plus rien à ce qui se passe.
En réalité, bien pratiqué, l’électro est une jouissance pure et surtout dans la durée. Une jouissance pour laquelle le cerveau humain n’a pas été conçu ni adapté, et qu’il tente de comprendre et de réinterpréter à chaque fois…

Jouissance, ou : frustration extrême ! En amenant à la limite de la jouissance, et en ne laissant pas jouir, mais en faisant durer cet instant, en faisant durer cette sensation qui précède la jouissance de très très longues secondes… alors que cet instant ne dure qu’un dixième de seconde normalement !

Mais bon : mal pratiqué, ou sciemment, l’électro peut aussi devenir un réelle torture. On ne s’improvise pas en électro, on commence par tester et apprendre sur soi-même, et on apprend l’humilité aussi, car personne n’est égal dans les sensations face à l’électro, C’est une remise en question perpétuelle du domi… et plus encore quand on sait que le “niveau” des soumis évolue très rapidement et continuellement en électro.