Erreur de casting pour ce jeune lyonnais de 20 ans : tous les plans ne se ressemblent pas…
J’avais cru à son potentiel, mais j’ai fait une erreur de casting pour ce jeune lyonnais de 20 ans : tous les plans ne se ressemblent pas…
Arrivé vers 20h00 (avec une heure de retard) le début du plan s’est bien déroulé, pas de souci. Bon, le mec a un méga phimosis et un gros blocage au fait de jouir en présence d’un mec… mais ça, c’est pas trop grave.
Et puis, sur le coup des 2 heures du matin, je décide de faire une petite pause. Je lui propose de boire un verre… en moins de 20 minutes, le mec me descend cul-sec la moitié d’une bouteille de Vodka d’exception titrant 58° et, complètement bourré, commence à devenir délirant et violent, incontrôlable, et à me répéter qu’il est le Diable…
Un peu avant 3 heures du matin, n’arrivant pas à le raisonner, à le contrôler ou à le calmer ; je le dégage manu-militari de chez moi. Qu’il se démerde pour trouver un endroit pour dormir, et pour rentrer !!! Là : ce n’est vraiment plus mon problème.
Je ne suis pas là pour gérer les malades mentaux, les alcooliques, les drogués, les cas sociaux, ou les cyclothymiques schizophrènes…
Et c’est bien volontiers que j’avoue m’être planté sur ce coup là dans ma « sélection ».
Qu’il estime heureux que je ne vous donne pas ici son nom…
Erreur de casting pour ce jeune lyonnais de 20 ans
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Depuis une grosse semaine, il était en chasteté dans sa cage Holytrainer.
Il m’avait demandé de lui défoncer les seins, et aussi, de lui faire subir la pose de pinces sur tout le corps. Je commence donc par mettre les pinces à seins les plus « mordantes » dont je dispose, puis je place sur les points et zones les plus sensibles de son corps des pinces en buis très puissantes. Je retire sa cage de chasteté, et j’en dispose également sur ses couilles et sa queue. Le pire, c’est que je lui laisserai les pinces en place bien plus de 3 heures : la douleur monte tout au long, très progressivement et dans la durée, jusqu’à la limite du supportable. Mais le pire, c’est quand les pinces sont retirées, une à une, après avoir traumatisé les tissus corporels en profondeur…
Après cela, je lui place un stretcher (étireur) sur ses couilles afin de le torturer très lentement sous électro. Comme il avait envie de pisser, je pose un Coloplast sur sa queue, relié à une poche de collecte urinaire.
Après plusieurs heures passées immobilisé sur le plan de bondage, je décide de l’installer sur la chaise de bondage. Je lui pose une sonde urinaire reliée à un collecteur, lui installe un plug électro bipolaire dans le cul, et équipe sa queue et ses couilles pour une longue séance d’électro très hard.
Puis le plan s’est gentiment achevé en mode fétichiste néoprène, avec mon Alpha FIRESOCKS qui est venu se joindre à nous… presque tout cool…
