Le retour post pause Covid : bondage et SM hard
Vous avez souvent vu sur mon site des plans avec ce jeune soumis ! Là, pour son retour, après cette année de « pause Covid », il m’a demandé du bondage total et du SM hard. Et lui aussi avait très envie de tester mes toutes nouvelles mini-pinces… il est ouvertement maso !
A son arrivée, je l’immobilise très fermement sur la chaise haute de bondage : tout mouvement lui est alors impossible… j’ai enveloppé sa tête dans une bande cohésive auto-agrippante bien serrée pour l’isoler et le priver de la vue, et lui bloquer parfaitement les mâchoires : tout bâillon est alors inutile.
Et puis, on commence avec un peu d’électro sur sa très belle queue bien raide pour ce retour aux sources, complétée par des pinces à seins classiques. Un petit échauffement en quelque sorte.
Et progressivement, j’installe quelques-unes de mes mini pinces, sur sa queue sans oublier son prépuce, ses couilles, et aussi sur son torse, sur ses seins… Leur morsure est infernale, et même l’électro ne parvient pas à dissiper la douleur !
Après un petit moment, je décide de les lui retirer, une à une, et là : il découvre que c’est lors du retrait que la douleur est la plus insupportable ! Encore une fois, je tente de faire diversion avec l’électro, mais ce n’est pas suffisant pour lui (alors que sur moi, ça marche pourtant très bien !).
Je continuerai par un très long edging sous électro, toujours immobilisé sur la chaise de bondage, jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et largue enfin sa sauce en abondance.
Ensuite, je le libère, pour l’installer sur le plan de bondage, là encore en immobilisation absolue. Un breath-control léger avec le bulleur en entrée, sur lequel je positionne un microphone relié à ma box électro ET-312 réglée en mode « audio » : à chaque inspiration, les bulles dans le liquides font un très fort bruit qui est traduit via le micro en signal électro… la box est connectée à sa queue, et à un gros plug métallique bipolaire dans son cul.
C’est ainsi que chaque nouvelle respiration, qui relève d’un réel effort à cause du dispositif de bullage, se transforme en un signal électrique complexe qui vient tout à la fois le branler façon « edging » et littéralement lui défoncer le cul grâce aux va-et-vient du gros plug électro dans son cul… Il aura encore deux belles jouissances ainsi.
Le lendemain, on sera très sages (presque), avec une longue séance de défonce de son cul en électro, copieusement harnaché dans mon sling…
…et puis SUB074 nous rend visite (en latex) en début d’après midi, et c’est à son tour de passer dans le sling pour endurer un peu d’électro pendant que le jeune soumis s’occupe de lui !
Le retour post-Covid : bondage et SM hard
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