Le jeune couple hétéro (histoire totalement réelle)
Mardi 17 juillet 2018.
Je reçois cet e-mail :
« Bonjour. Je m’appelle Maëllis, j’ai 23 ans et je suis une femme qui vit en couple avec un mec très joueur et totalement hétéro de 25 ans qui s’appelle Matthieu. Il m’est totalement soumis. Nous serons en vacances sur Annecy au mois d’août, et j’aimerai beaucoup que vous acceptiez de nous recevoir, pour vous occuper SM et bien Hard de mon lui, devant moi, et surtout, que vous brisiez ses tabous d’hétéro macho en lui volant sa virginité de passif. Il n’est pas au courant de ma démarche. Je veux que ça reste une surprise. J’espère que vous me répondrez. Merci.
PS : ci-joint, une photo de nous deux.»
La demande est certes curieuse, mais quand je vois le mec sur la photo : j’ai le braquemard direct ! Super bandant, super sex… la fille est très belle, elle aussi. Alors je réponds à cette Maëllis :
« Salut Maëllis, et merci de ton message. Je dois t’avouer que ta demande m’amuse beaucoup, et que j’aimerai énormément m’occuper de ton copain. Le seul problème, je suis à 100% gay, et je pense que si tu es présente pendant que je m’occupe de lui, ça risquerait de me bloquer. Qu’en penses-tu ? Tu te sens capable de me livrer ton mec, pour que je m’en occupe seul sur une durée définie et avec des objectifs à convenir entre nous et à remplir, et des limites que nous fixerons ensemble pour que le plan ne dérape pas. Voilà ! Dis mois ce que tu en penses. Merci. »
Sa réponse ne se fait pas attendre :
« Je comprends parfaitement, et je me doutais un peu de cette réponse. Alors oui, c’est OK. Et oui, je veux bien te le livrer mais aux conditions suivantes : on règle tout par avance entre toi et moi, il n’est au courant de rien jusqu’à la dernière minute, je te le confie les yeux bandés et les mains attachées dans le dos, il ne sait pas que c’est un mec à qui je le confie, ni ce que tu as pour mission de lui faire sans aucune pitié. Est-ce que cela te convient ? Si oui, voilà mon numéro de téléphone : 06********, tu peux m’appeler tous les jours de la semaine entre 17h et 19h30 (je suis seule, lui il bosse) afin de convenir du déroulement du plan. Encore merci à toi. »
Durant les 3 semaines qui suivent, nous allons échanger Maëllis et moi à plusieurs reprises par mail et par téléphone pour fixer le plan, les objectifs, les limites. Pour tout cadrer…
Il y a un objectif à remplir obligatoirement et qu’elle me fixe : Matthieu n’a jamais sucé un mec, et ne s’est jamais fait enculer. Pour autant, Maëllis l’oblige souvent à lui faire porter d’assez gros plugs, ou même, elle le gode très régulièrement. Mais de là à se faire baiser par un mec : il y a encore un large fossé !
Jeudi 16 août 2018, 14h00.
On frappe à ma porte… je jette un œil à travers le judas : c’est Matthieu et Maëllis. Il a déjà les mains menottées dans le dos, et elle est en train de lui enfiler et d’ajuster une cagoule épaisse en lycra, aveugle, qui ne laisse que sa bouche accessible.
Avec Maëllis, nous avons convenu qu’il n’y ait pas un seul mot d’échangé. J’enfile des gants en latex noirs très fins, pour retarder le moment ou Matthieu comprendra qu’il est livré à un mec ! J’ouvre la porte : Maëllis le pousse à l’intérieur, me fait un sourire et un clin d’œil, puis disparait dans les escaliers, le tout sans un seul mot.
Nous avons convenu que si ça devait mal se passer, je lui envoie un SMS et elle revient le chercher dans l’heure. Mais : si tout se passe bien, elle ne reviendra le chercher qu’à 03h00 du matin, heure limite du plan.
Matthieu porte un débardeur Everlast noir assez moulant, qui met bien en valeur les formes de son corps musclé et bronzé, un short de bain noir très brillant qui moule son paquet désormais en érection, et des tongs.
Sans un mot, je retire les tongs et le short, et je découpe aux ciseaux le débardeur pour le lui retirer. Je fais exprès de le frôler avec mes gants en latex noir très fin, pour qu’il ne sache pas à qui il a été livré : homme ou femme. Puis je le guide jusque dans la playroom, en veillant à être assez doux dans mes gestes pour conserver cette ambiguïté.
Lui, il est aveuglé par la cagoule : j’ajoute un casque antibruit sur ses oreilles, et un bâillon en cuir, assez large et qui lui remplit bien la gueule, que je verrouille en le serrant bien.
J’observe le mec : il est vraiment magnifique de corps, sa queue est bien raide et bien veinée, et laisse déjà échapper un peu de mouille qui tombe en un filet continu jusqu’au sol. Malgré la chaleur du moment, il a des petits frissons de temps à autre qui trahissent sa peur.
Je lui verrouille autour du cou un gros collier lourd en acier, suspendu par 2 chaines tendues de part et d’autre de la playroom. Puis je lui passe aux chevilles et aux poignets des entraves en cuir larges et rembourrées.
Un bon coup de gel conducteur sur sa rondelle, je lui mets direct 3 doigts bien profond et je le fouille un peu –il est propre- avant de lui enfiler un plug électro bipolaire de bon diamètre : 5,5cm quand même, et 16cm de longueur totale.
Puis je commence à m’occuper de sa queue et de ses couilles : je pose sur ses couilles un étireur métallique réglable, pour l’instant en position de repos, ainsi qu’une couronne métallique « Stop Sperm » avec une boule de 6mm en insert urétral.
Les deux vont me servir pour l’électro sur sa queue et ses couilles. Il bande de plus en plus raide… et mouille toujours autant… Je sais qu’il n’a encore jamais testé l’électro, et qu’il ne connait pas cette sensation unique.
Il a les seins qui pointent : je sors des pinces à seins bien hardos, que je règle en position de serrage presque maximum, avant de les lui installer sur les tétons. Les deux pinces sont reliées par une chainette assez lourde.
Je lui colle sous les narines une bouteille de poppers : il prend de grandes inspirations, 3 à 4 fois par narine… je crois qu’il n’a toujours pas compris ce qui lui arrive !
Je décroche le collier et je le guide à reculons sur le plan de bondage, lui fais comprendre qu’il doit monter dessus après lui avoir retiré les menottes : je fixe rapidement les poignets, les chevilles, puis le collier au plan de bondage, avant de le sangler fermement, à l’aide des 8 sangles larges en cuir, l’immobilisant ainsi dans tous ses mouvements. Et je crois que là, la fermeté de mes gestes m’a trahi : il a sans doute compris qu’il avait été livré à un mec…
Je connecte le plug bipolaire à ma box électro Erostek ET312, et je lance le programme « orgasm » avec une très lente mais belle progressivité dans la puissance… et déjà, il commence à réagir par de petits spasmes, à peine perceptibles.
Puis je raccorde également l’étireur de couilles et la couronne « stop sperm » à la box électro, et je monte très progressivement la puissance, jusqu’à ce sa queue commence à réagir…
A raison de 1% d’augmentation automatique de la puissance toutes les 20 secondes : il y en a pour 10 minutes de montée progressive… on va déjà voir comment il réagit.
Chaque nouveau pour-cent le fait réagir un peu plus. Sa queue ne débande pas, et les contractions de son cul sont de plus en plus fortes et de plus en plus perceptibles.
Je commence à donner quelques tours de vis sur l’étireur de couilles. Oh, pas beaucoup au début, juste 3 ou 4 centimètres pour commencer, sur les 12 centimètres possibles. Mais j’y reviendrais très régulièrement pour augmenter à chaque fois de quelques millimètres !
Ca y est, il pousse déjà de petits gémissements ! Je kiffe…
La puissance délivrée continue de monter, progressivement, mais inexorablement. Je n’ai pas été trop vachard sur la puissance maximale à atteindre : je veux d’abord qu’il découvre, à son rythme, ces sensations, et surtout qu’il s’y habitue. J’aurai tout le temps pour monter dans les gammes de puissances, et dans les configurations !
Sa queue bien raide commence à faire des mouvements assez amples, du fait des contractions que lui intiment l’électro : il mouille abondamment.
Ses gémissements s’amplifient, quoiqu’étouffés par le large bâillon en cuir. Il commence à se trémousser, sans pour autant que ses liens lui permettent trop de mouvements.
Progressivement, je modifie la fréquence sur ma box électro, je teste des fréquences plus graves -il réagit un peu moins- puis des fréquences plus aigües, et j’essaie de trouver le point limite entre les sensations de plaisir et celles ou les fréquences rendent l’électro incisive et douloureuse.
Puis je modifie l’équilibre entre la puissance délivrée dans son cul, et dans sa queue, et j’alterne pour mesurer de sa réactivité : manifestement, il aime bien le cul, mais ce qui le fait le plus réagir, c’est sa queue ! Il n’est pas hétéro pour rien…
Je continue à augmenter petit à petit la traction sur ses couilles, un quart de tour à la fois… presque imperceptible, mais toujours plus fort, toujours plus long.
Ses spasmes s’amplifient : la progression sur la box électro est arrivée à son terme des 10 minutes, il est à cet instant à 57% de puissance sur la queue, et 52% sur le cul. Je vais le laisser planer ainsi quelques minutes, pour qu’il s’habitue, non sans lui avoir redonné du poppers à l’aide d’un petit masque respirateur.
Avec une cordelette, qui passe dans une petite poulie située au-dessus du plan de bondage, je place également ses seins sous traction à l’aide d’un poids de 500 grammes. Il réagit immédiatement sous le coup de la douleur, et semble se focaliser maintenant, dans des grognements sourds, sur la douleur qui envahit sa poitrine. Je me ravise, en modifie mon point d’attache pour qu’il ne subisse que 250 grammes de traction pour le moment. C’est déjà pas mal vu le mordant de ces pinces.
Sa queue poursuit ses mouvements au rythme de la routine électro, laissant échapper un filet de mouille qui vient se perdre dans une véritable flaque translucide sur son ventre, au niveau de son nombril. Je surveille du coin de l’œil le déroulé et la répétition de cette routine sur ma box, et je décide de reprendre la main sur les réglages.
D’abord, une montée progressive de la puissance dans le cul : je le fais ainsi passer de 52% à 60% en moins d’une minute. Les contractions se font plus violentes… mais il commence à débander légèrement. J’augmente donc d’un seul coup de 57% à 60% la puissance délivrée dans sa queue : il fait un bond, mais se remet immédiatement à bander comme un taureau tout en gémissant au rythme de la routine. Je vais le laisser stationnaire à ces puissances quelques minutes, avant de poursuivre, un pour-cent à la fois, par augmenter la puissance sur sa queue.
Assez rapidement, on arrive à 68%, ce qui semble à cet instant être son seuil de douleur. Son gland est bleui sous l’afflux de sang et la couronne « Stop Sperm » qui le strangule assez fermement à la naissance du gland. Son dard est bien veiné, dur comme un os, et continue à bouger dans le vide. C’est beau à voir. Un joli 18 par 5 cm…
J’entends tout à coup des grognements très différents, et très puissants, et je vois sa queue se contracter à un rythme très rapide : le sperme remplace la mouille, et il se met littéralement à pisser de gros jets de foutre bien blanc et bien épais… Pas moins de 13 ou 14 jets en tout !
Comme je suis gentil, je réduis légèrement la puissance appliquée sur sa queue, en retombant à 64%, mais je n’arrête pas son traitement électro.
Première jouissance après à peine plus de 45 minutes passées entre mes mains. Pour lui, c’est manifestement un enfer que d’avoir l’électrostimulation qui se poursuit après une telle jouissance. Le bâillon a du mal à étouffer ses grognements de réprobation, je sens qu’il voudrait que ça s’arrête, mais non ! Pas encore…
Je vais ainsi le laisser planer plus d’un quart d’heure, et n’arrêterai l’électro dans sa queue et son cul que lorsqu’il commencera à débander très légèrement.
Une petite pause s’impose : je le laisse immobilisé une bonne quarantaine de minutes sur le plan de bondage : le propre d’un bâtard, c’est de savoir attendre, sans savoir combien de temps, ni même pourquoi.
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A suivre… (en cours de rédaction…)
[ Les prénoms ont été modifiés ]