TUTORIEL : l’électrostimulation (e-stim)

E-Stim : la grande question :
c’est quoi l’électrostimulation ? ça fait quoi? ça marche comment ?

Quand nous étions gamins, nous avons tous –un jour ou l’autre– pissé sur l’une de ces  clôtures électrifiées qui ceint un parc à vaches ou à chevaux…
Alors autant vous le dire tout de suite : la sensation de « décharge électrique » n’est en rien comparable, et : heureusement…!
De même, si tu as déjà testé l’électro, il est plus que probable que les sensations que je sais générer, que je sais procurer soient radicalement différentes de ce que tu as déjà pu connaitre par ailleurs… et : c’est souvent préférable !!!

L’électrostimulation consiste à faire circuler un signal électrique « complexe » entre deux pôles [+] et [-], signal qui va stimuler les influx nerveux et donc les sensations. Et aussi : les muscles quand il y en a (ce qui n’est pas le cas de la queue… c’est un corps caverneux).
Entre deux pôles = on parle d’électro bipolaire.

Les box (générateurs) les plus performantes permettent aussi de fonctionner en mode « triphasé » c’est à dire exploitant 3 pôles : un pôle négatif commun [-] et deux pôles positifs [+A] et [+B] distincts et indépendants. Le mode triphasé est beaucoup plus complexe à maitriser, mais il permet de montrer très haut dans les sensations. A réserver aux experts, d’un côté comme de l’autre de la box…
Le mode triphasé nécessite l’exécution sur la box de routines, de programmes, qui sont spécifiques à ce mode : le triphasé n’est pas compatibles avec les routines et programmes « standards » prévus pour ne fonctionner qu’en bipolaire.

Ces signaux électriques complexes sont de fréquence, d’amplitude, et de puissance variables. Il vont générer des sensations pouvant aller de la simple vibration (basses fréquence) à la sensation d’un scalpel taillant dans les chairs (hautes fréquences et haute puissance),  modulable et ajustable en fonction de la puissance (tension, en volts) et de la fréquence délivrées. Et les sensations, en fonction des « programmes » ou « routines » utilisés, et des paramètres employés, sont d’une variété infinie.

Le tout se passe sous un très faible ampérage rendant l’électro assez inoffensif en utilisation normale et raisonnable.

Pour autant, l’électro ne doit JAMAIS être appliquée sur un sujet équipé d’un « pacemaker » ou présentant des troubles cardiaques, même bénins, ou encore : sujet à des crises d’épilepsie.
Un courant électrique ne doit JAMAIS traverser la zone thoracique / cardiaque, ni le cou ou la tête…
Il faut savoir qu’une fibrillation cardiaque peut être provoquée par une simple pile 9 volts sous 120mAh !!! Vous savez, une pile « à pressions »… Alors imaginez un peu les dégâts cardiaques que peuvent occasionner une box électro entre 10 et 50 fois plus puissante !

Déjà un basique : le courant électrique circule entre les deux pôles [+] et [-]. Donc, en aucun cas, on ne lui fera traverser la zone thoracique et cardiaque ! On se contentera de disposer les électrodes (ce qui fait « contact » avec le corps) au dessous du nombril, et pas ailleurs…

Un exemple concret de ce qu’il ne faut JAMAIS faire : poser les électrodes sur les seins — par exemple le [+] sur le sein droit et le [-] sur le sein gauche — et ainsi faire traverser le courant dans la zone cardio-thoracique !
Ça parait con, mais combien de milliers de vidéos de mecs irresponsables nous montrent ça, y compris dans des vidéos commerciales de grands studios réputés…
Au pire des cas : on utilisera sur les seins des pinces bipolaires (elles sont chacune dotées d’un pôle [+] et d’un pole [-] à raccorder chacune sur un canal distinct (canaux isolés entre-eux) pour que le courant ne traverse que le sein, mais : qu’il ne passe surtout pas d’un sein à l’autre…!

Sur les différentes « Box » électro, il y a généralement plusieurs « circuits » ou « canaux » disponibles : ils sont normalement isolés entre eux à des fins de sécurité (sauf sur les les box « bas de gamme » : la masse ou pôle [-] est commune).
La majorité des « Box » présente 2 canaux possibles, mais certaines en proposent plus… ce qui nécessite de ne pas se mélanger dans les fils !!!

De manière normative, et pour la plupart des « programmes » ou « routines », le canal A est destiné à la queue, et le canal B au cul… les box qui proposent plus de canaux ne sont généralement pas destinées à une utilisation « électrostimulation sexuelle » et donc : il y a danger !
Sur box sérieuse et adaptée à l’utilisation sexuelle, je vous rappelle que les deux canaux sont parfaitement isolés, ce qui signifie il n’y a pas d’interaction possible entre eux.
Ce n’est pas le cas des box bas de gammes ou détournées de leur destination d’origine = danger !

Toujours de la même manière : méfiez vous des box « entrée de gamme », des « trucs » achetés sur Amazon ou Wish à moins de 150 euros… Une box de qualité, à moins de 150 euros : je reste beaucoup plus que dubitatif ! Moins c’est cher, et plus c’est DANGEREUX.
Celles que j’utilise (Erostek ET312 et la petite ET 302r) ne valent pas moins de 800 à 900 € pour la première, et 400 à 500 € pour la seconde.
Et par pitié : évitez les « Rimba« , « MeoBox« , « Mystim » et autres minables cochonneries « Made in China » à peine dignes des sex-shop hétéros… c’est strictement de la « mouise » !!!

Il n’y a que deux marques qui se distinguent constament en matière de qualité, de fiabilité, de sécurité et de performances : E-STIM et EROSTEK.
Deux marques, et pas trois…
E-STIM est à l’électro ce que NIKON ou CANON sont à la photo… Pour ce qui est d’EROSTEK, ce serait un peu plus du style LEICA…! Le paysage est dessiné.

Enfin, n’utilisez JAMAIS une box bas de gamme directement reliée (ou via un transfo) à l’alimentation secteur !!! Mais uniquement en fonctionnement autonome sur piles ou sur la batterie interne.
Ne vous le permettez, et encore de manière très occasionnelle, qu’avec des box haut de gamme, comme l’Erostek ET302r ou la E-Stim 2B, et uniquement avec leur transfo-chargeur d’origine ! Un accident est si vite arrivé.

AVANT DE COMMENCER…
LES PRE-REQUIS !

Il va vous falloir un excellent gel conducteur spécial pour l’électrostimulation (ou à la rigueur un gel pour l’électrothérapie médicale) et en bonne quantité !!!
C’est ce qui va assurer un excellent contact, un excellent passage électrique, entre le point de contact (quel que soit l’accessoire) et le derme.
Pour ma part, je n’utilise plus que du gel conducteur PARKER – SPECTRA 360 : même si il vient à sécher un peu, il reste parfaitement conducteur. De plus, il est non-salin (donc : pas de corrosion des pièces métalliques).
Un mauvais passage électrique entre l’accessoire électro et le derme va générer une sensation insupportable de brûlure ! D’où l’importance d’un gel de qualité et en abondance.
Les gels lubrifiants à base d’eau ne sont pas du tout adaptés à l’électro. Les gels silicones ou les gels gras sont isolants, et donc à proscrire.
Méfiez vous des gels conducteurs vendus en magasin de sport : certains ont un pouvoir collant !!! Oui : c’est de la colle… qu’on utilise pour réactiver des « patches » de musculation. Mais ce pouvoir collant peut cependant présenter un intérêt dans certains cas, rares.

Ensuite, tous les connecteurs de vos câbles et accessoires méritent un petit coup d’aérosol KF – F2-SPECIAL CONTACTS pour éviter tout faux-contact. C’est un spray technique, que vous trouverez facilement sur internet (Amazon,  Conrad…) dont vous appliquerez une petite giclée sur TOUS LES CONNECTEURS avant utilisation afin d’éviter des faux contacts (forts désagréables) : fiches, prises, connecteurs, parties métalliques, à l’exception de toute partie métallique venant en contact cutané ou en insert corporel (urètre, canal rectal, etc… c’est pas fait pour, et très allergène).
C’est nécessaire car un film gras peut se former, ou une pellicule légèrement corrodée, rendant parfois incertaine la qualité des contacts. Le nettoyage / désinfection à la Javel des matériels est une source notoire de corrosion, mais : il est impossible de s’en passer… donc : un bon coup de spray s’impose !

A ÉVITER !!!      Tous les accessoires électro en « silicone conducteur » sans exception, qui présentent une forte résistivité, et affaiblissent donc l’effet ressenti obligeant à monter en gamme de puissance, ce qui a un effet désastreux sur le ressenti.
Même chose au sujet des « patches autocollants » : ils sont destinés à l’électrostimulation, et leur emploi est particulièrement hasardeux pour les même raisons… sans compter qu’ils ne cessent de se décoller.

 

DOCUMENT EN COURS DE RÉDACTION : A SUIVRE !!!
REVENEZ DANS QUELQUES JOURS…

 

Une réponse sur “TUTORIEL : l’électrostimulation (e-stim)”

  1. Bonjour, un grand merci pour cet article, qui met en lumières une pratique particulière, a risque quand mal maîtrisée. Je suis ton site depuis de nombreuses années, et c’est un bonheur de voir tes soumis jouir sous electro. C’est une pratique que je reve de découvrir, mais difficile de trouver des gens responsables et fiables pour le faire. J’attends la suite avec impatience!!!

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