Jusqu’à la dernière goutte, sous électro

Jusqu’à la dernière goutte, sous électro

C’est le premier passage pour cet étudiant de 22 ans, qui est venu 2 jours se faire « tourmenter » et « maltraiter« … Je mets des guillemets, car je ne suis pas certain que ces verbes soient les mieux adaptés à ce qu’il a subi en réalité !

Là, cette séquence vidéo, c’est à l’issue d’une belle séance d’électro, durant laquelle il était parfaitement immobilisé sur ma chaise de bondage : vous allez voir son plaisir monter, sa queue se raidir, puis se relâcher un peu… alors que l’électro continue infatigablement son travail jusqu’à le purger littéralement, le faire jouir presque « mécaniquement », et : jusqu’à la dernière goutte.

Moi, j’adore cette séquence vidéo !!!

Jusqu’à la dernière goutte, sous électro

 


 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Le Saut de l’Ange : premier stage de 48 heures

A 24 ans, c’est son premier passage chez moi. Ça faisait un bon moment que nous étions en contact sur internet. Avec ses beaux yeux bleus (que vous ne verrez pas), TOUB n’est pas vraiment un novice, car il a déjà bien roulé sa bosse chez de très bons domis.
Mais là, malgré la canicule, on a cherché à se faire plaisir : passage par l’électro, qu’il voulait mieux découvrir, nuit en cage, bondage et immobilisation sur la chaise haute, suspension en mode « Saut de l’Ange », isolation sensorielle verrouillé dans le carcan métallique, puis momification et milking-machine…  il a eu droit à un programme pour le moins sympathique!

 

 



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Electro en suspension et orgasme ruiné pour Sub074

Electro en suspension et orgasme ruiné pour Sub074

 

Je commence par mettre une cagoule à SUB074, puis un bandeau sur les yeux, un bâillon et des attaches en cuir aux poignets et aux chevilles.
Je lui installe également un harnais de suspension avant de lui retirer la cage de chasteté Holytrainer qu’il porte maintenant depuis plusieurs jours.
Je le suspends par le harnais, puis je positionne les électrodes sur sa queue, et j’installe la box ET-312 pour commencer le travail de sa queue sous électro, suffisamment fort pour ressentir de fortes sensations mais pas assez pour l’amener à un orgasme normal.
Je le gaze au poppers, et j’ajoute aussi des pinces en buis sur son torse et ses bras, avant d’augmenter progressivement l’électro jusqu’à le conduire à un orgasme ruiné : son sperme coule mais il ne le sent pas et n’a donc pas de réel orgasme, pas de jouissance (à 2 min 21 dans la vidéo).
Pour autant, je ne m’arrête pas : la session électro se poursuit sans jamais lui permettre d’en jouir… avant de le remettre en chasteté jusqu’au prochain plan!

Electro en suspension et orgasme ruiné pour Sub074



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


DEVOSUB : nouveau passage sur plus de 48 heures – Corporal Punishment « sans trace »

DEVOSUB était déjà passée deux soirs de suites, les 22 et 23 juin dernier, et là: il est revenu pour un peu plus de 48 heures de plan.
Son gros kiff, c’est le corporal punishment… alors j’en ai profité pour vous montrer, à travers cette vidéo de 37 minutes extraite de 2 heures 30 de séance de corporal punishment extrême (flogging, paddliing, canning…) que, quand un Master à l’expérience et la connaissance nécessaires, il est parfaitement possible d’aller très loin dans cette pratique sans pour autant se comporter comme un boucher, c’est à dire : sans laisser de trace! Sans blesser…
C’est presque simple : il faut savoir progressivement préparer la peau, la « tanner » en surface et en profondeur, pour recevoir tel ou tel type d’impact…
Là, dès le lendemain, il n’y avait plus vraiment de trace visibles. Et ça, c’est juste « avoir de l’expérience » et du « savoir-faire« .
Comme quoi, pour le soumis : il vaut mieux avoir affaire à un master expérimenté et qui sait vraiment ce qu’il fait…

 

Et à l’issue de ce week-end, voici le « débrief » de DEVOSUB qui semble en être très satisfait… Encore merci à lui !


Une séance de canning / corporal punishment : comment ça se passe  ?

AVANT :

• on commence par préparer la peau du soumis. Une épaisse couche de crème grasse et hydratante, type Nivea, peut parfaitement faire l’affaire.
• le soumis doit être parfaitement conscient et réactif : pas de chems, pas de drogue, pas d’alcool…
• on détermine un Safeword ou un code entre le soumis et le master, et on s’assure de sa bonne compréhension.
• les cannes : elles ont préalablement trempé 24 heures dans l’eau additionnée d’un peu de Javel, puis rinçage abondant, avant 3 à 5 heures d’égouttage liées très serrées « en fagot » pour éviter qu’elles ne se déforment. Elles doivent être bien humides. Une canne sèche est moins efficace, plus blessante, et surtout : cassante. Une canne cassée ou fendue doit être immédiatement jetée.
• les instruments cuir : désinfectés au Dakin (Javel diluée) ou au Sanytol, puis graissés à la Graisse de Phoque ou avec du lait nettoyant pour la peau de bébé, afin de les rendre plus souples et plus efficaces.
• les autres instruments sont tous nettoyés et désinfectés (Dakin, Sanytol…) et eux aussi éventuellement graissés.
• attention : jamais de graisse sur du latex ou du caoutchouc !

PENDANT :

• on observe, on écoute, on regarde… et surtout : on s’imagine à la place du soumis ! Dans tous les cas : on reste toujours raisonnable et mesuré (le master doit rester en pleine possession de ses capacités : ni chems, ni drogue, ni alcool…), et surtout, on respecte les limites !
• régulièrement, en cours de séance, on s’assure de « l’état » du soumis et de son ressenti.
• une zone blessée ? On ne s’acharne surtout pas dessus, et on l’évite…
• plus généralement, on ne s’improvise pas domi ou soumis dans une séance de corporal punishment. Il faut de l’expérience, une montée très progressive en puissance, et pour le domi : une parfaite connaissance des techniques et de ses « outils », et surtout de leur maniement au centimètre près…

APRES :

• on désinfecte les plaies éventuelles (Hexomédine, Betadine bleue ou rouge…) et surtout : en évitant l’alcool à 70° ou à 90°.
• on passe une épaisse couche de crème grasse et hydratante, ou de crème de type Cetavlon (en pharmacie) pour éviter le plus gros des traces.
• on masse bien et en douceur toute la surface atteinte pour faire pénétrer la crème.



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Le combo parfait : Bondage, Fuck-Machine & Milking Machine

Le combo parfait : Bondage, Fuck-Machine & Milking Machine

Certains disent que c’est le combo parfait :
bondage extrême, fuck-machine et milking-machine… je vous laisse juger !!!

Le combo parfait : Bondage, Fuck-Machine & Milking Machine

 



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Quand on a 20 ans, une double traite s’impose ! Electro puis Milking-Machine

C’est l’un de mes jeunes habitués, il a 20 ans, et il était impatient de revenir se faire un peu maltraiter, et surtout: purger…!
En un peu moins de 3 heures, je lui ai donné deux énormes jouissances, la première sous Electro puis percuteur pour « finir le travail », et la seconde avec ma Milking-Machine (désolé : il y a eu une panne de batterie 10 secondes avant son énorme second largage… ça a giclé partout!)

Voilà ce que ça donne en 2 vidéos :

Tout d’abord, une première traite sous électro, puis percuteur-vibreur… il a un poids d’un kilogrammes sur les couilles, et également un assez gros plug électro dans le cul :

Et une « reblâche » comme on dit dans les Savoie, c’est à dire une 2ème traite quelques minutes après, mais cette fois avec la Milking Machine :

 



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Pup_Bamboo : mon beau Rubber®™ Puppy®™ pour un Week-End®™ de Puppy-Play®™

C’est un de mes jeunes habitués (21 ans), mais vous allez avoir du mal à le reconnaitre sur ces nombreuses photos, parfaitement moulé dans son latex, et avec son magnifique masque de Puppy®™ Play®™
Ce furent 48 heures de Puppy-Play®™ bien chaudes dans ma Playroom®™!

*** ( Ne vous inquiétez pas  : les «®™» sont volontaires et franchement moqueurs… car des mecs tentent actuellement de s’approprier –par un dépôt cavalier devant l’INPI– la Marque «Puppy-Play» en France, et donc : en interdire l’usage à quiconque… rien de moins que ça !!!
« Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait…» comme disait le dialoguiste Michel Audiard. )

 



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Un week-end restrictif et intensif

Un week-end restrictif et intensif

Arrivé le samedi matin, reparti le dimanche après midi, je n’ai pas laissé beaucoup de liberté à Gearfan pour son premier passage…
Il manque les photos de sa nuit passée en cage, qu’il a trouvée très confortable !

 

Un week-end restrictif et intensif



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Découverte du Corporal Punishment pour Sub074

Après les deux séances de Corporal Punishment, le week-end dernier avec Devosub, voilà que Sub074 a voulu à son tour découvrir et essayer : il n’avait encore jamais pratiqué le CP…
Sans être sur la même intensité, je lui fais découvrir –avec une montée assez progressive– les sensations si particulières et assez extrêmes que procure cette pratique.
Bon, à la fin, quand je l’ai détaché, il s’est effondré dans mes bras en pleurs, mais ça me semble parfaitement normal : il a donné le maximum ! Et je n’ai pas été très tendre avec lui, mais c’est ce qu’il voulait.


Une séance de canning / corporal punishment : comment ça se passe  ?

AVANT :

• on commence par préparer la peau du soumis. Une épaisse couche de crème grasse et hydratante, type Nivea, peut parfaitement faire l’affaire.
• le soumis doit être parfaitement conscient et réactif : pas de chems, pas de drogue, pas d’alcool…
• on détermine un Safeword ou un code entre le soumis et le master, et on s’assure de sa bonne compréhension.
• les cannes : elles ont préalablement trempé 24 heures dans l’eau additionnée d’un peu de Javel, puis rinçage abondant, avant 3 à 5 heures d’égouttage liées très serrées « en fagot » pour éviter qu’elles ne se déforment. Elles doivent être bien humides. Une canne sèche est moins efficace, plus blessante, et surtout : cassante. Une canne cassée ou fendue doit être immédiatement jetée.
• les instruments cuir : désinfectés au Dakin (Javel diluée) ou au Sanytol, puis graissés à la Graisse de Phoque ou avec du lait nettoyant pour la peau de bébé, afin de les rendre plus souples et plus efficaces.
• les autres instruments sont tous nettoyés et désinfectés (Dakin, Sanytol…) et eux aussi éventuellement graissés.
• attention : jamais de graisse sur du latex ou du caoutchouc !

PENDANT :

• on observe, on écoute, on regarde… et surtout : on s’imagine à la place du soumis ! Dans tous les cas : on reste toujours raisonnable et mesuré (le master doit rester en pleine possession de ses capacités : ni chems, ni drogue, ni alcool…), et surtout, on respecte les limites !
• régulièrement, en cours de séance, on s’assure de « l’état » du soumis et de son ressenti.
• une zone blessée ? On ne s’acharne surtout pas dessus, et on l’évite…
• plus généralement, on ne s’improvise pas domi ou soumis dans une séance de corporal punishment. Il faut de l’expérience, une montée très progressive en puissance, et pour le domi : une parfaite connaissance des techniques et de ses « outils », et surtout de leur maniement au centimètre près…

APRES :

• on désinfecte les plaies éventuelles (Hexomédine, Betadine bleue ou rouge…) et surtout : en évitant l’alcool à 70° ou à 90°.
• on passe une épaisse couche de crème grasse et hydratante, ou de crème de type Cetavlon (en pharmacie) pour éviter le plus gros des traces.
• on masse bien et en douceur toute la surface atteinte pour faire pénétrer la crème.



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Deux bâtards sous électro…

Deux bâtards sous électro…

Une fin de plan toute cool pour ces deux bâtards, sous électro, histoire de les purger jusqu’à la dernière goutte après un week-end bien rempli et vraiment très hot !!!

Deux bâtards sous électro…



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


CUMING INSIDE : une belle session d’électro avec Devosub

CUMING INSIDE : une belle session d’électro avec Devosub

Ben voilà !!!
DEVOSUB voulait du corporal punishment un peu extrême, mais il voulait  aussi une belle session d’électro sur ma chaise de bondage… qui se traduit en cette vidéo de 16 minutes où on le voit vraiment prendre sont pied !!!
Il a une urètre très resserrée, aussi, avec le frein de sperme que j’utilise, il va « jouir à l’aveugle », son premier sphincter urétral étant complètement occulté par la sphère métallique de 6mm de diamètre qui le pénètre, mais vous allez voir : surprise quand on la retire…!!!

CUMING INSIDE : une belle session d’électro avec Devosub



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Séance de flagellation sur le torse pour SUB074

Séance de flagellation sur le torse pour SUB074

C’est un des kifs de SUB074… il adore se faire flageller le torse et les seins… alors, à sa demande, fermement attaché en croix, je vais le malmener « un peu »!

Mais bon, l’objectif lors de cette séance était de faire du « zéro trace » tout en lui donnant un maximum d’effet : mission accomplie.

 

Séance de flagellation sur le torse pour SUB074

 


 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Extreme corporal punishment [VIDEO] – 2ème partie : SAMEDI

C’est une vidéo, un peu extrême, qui vous montre plus de 32 minutes de Corporal Punishment très intensif, en une seule prise, extrait d’une séance qui a duré en tout près de d’une heure et demie !
Inutile de préciser que « ce n’est pas pour les débutants » et que c’est réservé aux seuls demandeurs. Surtout à cette intensité là…
Le plus difficile, lors d’une telle séance, c’est de respecter au mieux l’intégrité physique du mec qui reçoit les coups de canne, de fouet, de paddle, de flogger… ne pas le blesser au delà de traces superficielles qui ne dureront que quelques jours, ne pas couper ou faire éclater la peau, ne pas blesser.  Pour autant, les coups sont portés, puissants, violents… mais toujours maitrisés.
Bref : le plus dur, c’est de ne pas faire du « Discipline4boys » (vous savez, les vidéos qui circulent sur le web…) où il n’y a aucun respect pour l’intégrité physique du maso.
Même dans ce type de « jeu » (et j’insiste sur ce mot) c’est la recherche d’un plaisir partagé entre le Master et l’Esclave Maso qui doit primer. Je sais qu’il est souvent difficile de comprendre qu’il soit possible de prendre son pied ainsi, et pourtant, pour certains masos, c’est bien le cas.

Comme ce fut le cas vendredi soir (vidéo 1ère partie)… et : à nouveau dès le lendemain, ce Samedi, dans cette seconde vidéo…!!!

2ème partie : Samedi

 

Bâtard : DEVOSUB   (son profil Recon : cliquez ici)

 

Et voilà le message de « débrief » que j’ai reçu dimanche soir, après ce week-end intense :

 


Une séance de canning / corporal punishment : comment ça se passe  ?

AVANT :

• on commence par préparer la peau du soumis. Une épaisse couche de crème grasse et hydratante, type Nivea, peut parfaitement faire l’affaire.
• le soumis doit être parfaitement conscient et réactif : pas de chems, pas de drogue, pas d’alcool…
• on détermine un Safeword ou un code entre le soumis et le master, et on s’assure de sa bonne compréhension.
• les cannes : elles ont préalablement trempé 24 heures dans l’eau additionnée d’un peu de Javel, puis rinçage abondant, avant 3 à 5 heures d’égouttage liées très serrées « en fagot » pour éviter qu’elles ne se déforment. Elles doivent être bien humides. Une canne sèche est moins efficace, plus blessante, et surtout : cassante. Une canne cassée ou fendue doit être immédiatement jetée.
• les instruments cuir : désinfectés au Dakin (Javel diluée) ou au Sanytol, puis graissés à la Graisse de Phoque ou avec du lait nettoyant pour la peau de bébé, afin de les rendre plus souples et plus efficaces.
• les autres instruments sont tous nettoyés et désinfectés (Dakin, Sanytol…) et eux aussi éventuellement graissés.
• attention : jamais de graisse sur du latex ou du caoutchouc !

PENDANT :

• on observe, on écoute, on regarde… et surtout : on s’imagine à la place du soumis ! Dans tous les cas : on reste toujours raisonnable et mesuré (le master doit rester en pleine possession de ses capacités : ni chems, ni drogue, ni alcool…), et surtout, on respecte les limites !
• régulièrement, en cours de séance, on s’assure de « l’état » du soumis et de son ressenti.
• une zone blessée ? On ne s’acharne surtout pas dessus, et on l’évite…
• plus généralement, on ne s’improvise pas domi ou soumis dans une séance de corporal punishment. Il faut de l’expérience, une montée très progressive en puissance, et pour le domi : une parfaite connaissance des techniques et de ses « outils », et surtout de leur maniement au centimètre près…

APRES :

• on désinfecte les plaies éventuelles (Hexomédine, Betadine bleue ou rouge…) et surtout : en évitant l’alcool à 70° ou à 90°.
• on passe une épaisse couche de crème grasse et hydratante, ou de crème de type Cetavlon (en pharmacie) pour éviter le plus gros des traces.
• on masse bien et en douceur toute la surface atteinte pour faire pénétrer la crème.


Moins de 24 heures après (le dimanche après midi) voilà l’état de ses fesses :

D’ici 3 ou 4 jours, il n’y aura plus aucune trace.



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Extreme corporal punishment [VIDEO] – 1ère partie : VENDREDI

C’est une vidéo, un peu extrême, qui vous montre près d’un quart d’heure de Corporal Punishment très intensif, en une seule prise sans montage, extrait d’une séance qui a duré en tout près de deux heures !
Inutile de préciser que « ce n’est pas pour les débutants » et que c’est réservé aux seuls demandeurs. Surtout à cette intensité là…
Le plus difficile, lors d’une telle séance, c’est de respecter au mieux l’intégrité physique du mec qui reçoit les coups de canne, de fouet, de paddle, de flogger… ne pas le blesser au delà de traces superficielles qui ne dureront que quelques jours, ne pas couper ou faire éclater la peau, ne pas blesser.  Pour autant, les coups sont portés, puissants, violents… mais toujours maitrisés.
Bref : le plus dur, c’est de ne pas faire du « Discipline4boys » (vous savez, les vidéos qui circulent sur le web…) où il n’y a aucun respect pour l’intégrité physique du maso.
Même dans ce type de « jeu » (et j’insiste sur ce mot) c’est la recherche d’un plaisir partagé entre le Master et l’Esclave Maso qui doit primer. Je sais qu’il est souvent difficile de comprendre qu’il soit possible de prendre son pied ainsi, et pourtant, pour certains masos, c’est bien le cas. Comme ce fut le cas ce vendredi soir…

1ère partie : vendredi

Bâtard : DEVOSUB   (son profil Recon : cliquez ici)

A suivre !!!
Car nous avons remis ça le lendemain… Vidéo 2ème partie

 

Et voilà le message de « débrief » que j’ai reçu dimanche soir :


Une séance de canning / corporal punishment : comment ça se passe  ?

AVANT :

• on commence par préparer la peau du soumis. Une épaisse couche de crème grasse et hydratante, type Nivea, peut parfaitement faire l’affaire.
• le soumis doit être parfaitement conscient et réactif : pas de chems, pas de drogue, pas d’alcool…
• on détermine un Safeword ou un code entre le soumis et le master, et on s’assure de sa bonne compréhension.
• les cannes : elles ont préalablement trempé 24 heures dans l’eau additionnée d’un peu de Javel, puis rinçage abondant, avant 3 à 5 heures d’égouttage liées très serrées « en fagot » pour éviter qu’elles ne se déforment. Elles doivent être bien humides. Une canne sèche est moins efficace, plus blessante, et surtout : cassante. Une canne cassée ou fendue doit être immédiatement jetée.
• les instruments cuir : désinfectés au Dakin (Javel diluée) ou au Sanytol, puis graissés à la Graisse de Phoque ou avec du lait nettoyant pour la peau de bébé, afin de les rendre plus souples et plus efficaces.
• les autres instruments sont tous nettoyés et désinfectés (Dakin, Sanytol…) et eux aussi éventuellement graissés.
• attention : jamais de graisse sur du latex ou du caoutchouc !

PENDANT :

• on observe, on écoute, on regarde… et surtout : on s’imagine à la place du soumis ! Dans tous les cas : on reste toujours raisonnable et mesuré (le master doit rester en pleine possession de ses capacités : ni chems, ni drogue, ni alcool…), et surtout, on respecte les limites !
• régulièrement, en cours de séance, on s’assure de « l’état » du soumis et de son ressenti.
• une zone blessée ? On ne s’acharne surtout pas dessus, et on l’évite…
• plus généralement, on ne s’improvise pas domi ou soumis dans une séance de corporal punishment. Il faut de l’expérience, une montée très progressive en puissance, et pour le domi : une parfaite connaissance des techniques et de ses « outils », et surtout de leur maniement au centimètre près…

APRES :

• on désinfecte les plaies éventuelles (Hexomédine, Betadine bleue ou rouge…) et surtout : en évitant l’alcool à 70° ou à 90°.
• on passe une épaisse couche de crème grasse et hydratante, ou de crème de type Cetavlon (en pharmacie) pour éviter le plus gros des traces.
• on masse bien et en douceur toute la surface atteinte pour faire pénétrer la crème.



 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.


Découverte de l’électro en immobilisation totale

Découverte de l’électro en immobilisation totale

Lui, super sympa et mignon, 31 ans, il est venu un après-midi complet pour découvrir l’électro sous immobilisation absolue.
Je crois pouvoir dire qu’il a sur-kifé les sensations (rien à voir avec ce qu’il avait pu jusque là essayer), mais aussi, qu’après quelques heures de ce traitement, il était franchement  épuisé  avant de reprendre la route…!

 

Découverte de l’électro en immobilisation totale

 


 


 

 


La boutique Matos Sexe, Hard et SM… Un choix dingue à prix abordables.